Du temps des pharaons à aujourd’hui
Bienheureux est celui qui assistera au lever de Râ, son âme sera plus heureuse.
Le jour se lève, se dessine un programme fabuleux, un premier temple, une première découverte présentée par un guide passionné d’égyptologie.
Les premiers hiéroglyphes, les premières colonnes coiffées de palmes, et des sphinx qui s’alignent sur une allée majestueuse.
Long de 35 mètres, et large de 7 mètres, avec son faible tirant d’eau (60 cm seulement) la dahabieh peut accoster là où bon lui semble. Pour un petit-déjeuner sur l’herbe, pour une rencontre avec les villageois et les artisans, pour une baignade dans les eaux sacrées, pour un site plus confidentiel par son accès impossible pour les gros navires, ou même pour un dîner sur un îlot paisible, éclairé de mille feux.
Le temps s’étire. En attendant l’écluse, l’histoire s’écrit, le temps des cartes postales est là. L’inspiration nous guette.
Imaginé des escapades d’antan à bord de felouques traditionnelles à voiles latines, c’est un autre voyage, un doux voyage, et il est envoutant.
C’est une immersion dans la culture locale. Ce que les croisiéristes des gros navires, ne peuvent voir.
Le quotidien des populations faisant leur marché, les passagers de Lazuli ont le privilège de s’y promener avec leur guide, d’y déguster des fruits, des spécialités locales, et de faire des achats bien plus authentiques. C’est un autre rythme, une autre façon de vivre la destination, et de mieux comprendre la vie des Égyptiens au fil de l’eau.
Les pêcheurs tirant les filets, les enfants de baignant, les femmes préparant le pain, le travail des champs…
C’est aussi le privilège de faire une pause sur un îlet, le temps d’une dégustation, d’une baignade, avant un dîner aux chandelles.